Les nouvelles en vers dont ce livre fait part au public , et dont l’une
est tirée de l’Arioste, l’autre de Boccace, quoique d’un style bien
différent, sont toutefois d’une même main. L’auteur a voulu éprouver
lequel caractère est le plus propre pour rimer des contes. Il a cru que
les vers irréguliers ayant un air qui tient beaucoup de la prose, cette
manière pourrait sembler la plus naturelle, et par conséquent la
meilleure. D’autre part aussi le vieux langage, pour les choses de
cette nature, a des grâces que celui de notre siècle n’a pas. Les Cent
Nouvelles nouvelles, les vieilles traductions de Boccace et des Amadis,
est tirée de l’Arioste, l’autre de Boccace, quoique d’un style bien
différent, sont toutefois d’une même main. L’auteur a voulu éprouver
lequel caractère est le plus propre pour rimer des contes. Il a cru que
les vers irréguliers ayant un air qui tient beaucoup de la prose, cette
manière pourrait sembler la plus naturelle, et par conséquent la
meilleure. D’autre part aussi le vieux langage, pour les choses de
cette nature, a des grâces que celui de notre siècle n’a pas. Les Cent
Nouvelles nouvelles, les vieilles traductions de Boccace et des Amadis,