Je me sentais, pareil au prisonnier brusquement élargi, pris de vertige, pareil au cerf-volant dont on aurait soudain coupé la corde, à la barque en rupture d'amarre, à l'épave dont le vent et le flot vont jouer. Si le grain ne meurt écrit en 1926 par andré Gide Une citation d'André Gide
L'oeil est rentré sous l'arcade sourcilière qu'enfile un buisson de poils. Les Faux-Monnayeurs écrit en 1925. André Gide