Adoum reste plié en deux de rire, parce qu'un de nos pagayeurs, pris de peur et voulant reculer, a buté contre une souche et roulé à terre. Voyage au Congo écrit en 1926. André Gide
Il s'avance dans la vie comme un hurluberlu et risque de ne prendre quelque expérience qu'en échafaudant cruellement. Journal 1889-1939, 6 août 1926. André Gide
Les plus douces joies de mes sens ont été des soifs étanchées. Extrait de Les nourritures terrestres. André Gide
Quelques plongeons dans la solitude me sont aussi indispensables, chaque jour, que le sommeil des nuits. Je m'y défripe. Journal 1889-1939, 8 août 1905. André Gide