Cultivons nous
Je n'admets pas que rien me nuise; je veux que tout me serve, au contraire. J'entends tourner tout à profit. Journal 1889-1939. André Gide
Pas d'autre bruit que le coassement rythmé des grenouilles. Journal 1939-1949 Souvenirs, 31 mai 1949. André Gide
J'avais un emploi du temps épinglé au mur. Journal 1889-1939, 1er février 1912. André Gide
D'énormes arums dressent leurs cornets entr'ouverts et laissent paraître un secret blanc, tigré de pourpre sombre. Voyage au Congo écrit en 1926. André Gide
Ce qui me dépitait surtout c'est que, des six Espagnoles ou gitanes que cette fête rassemblait, celle qui m'avait jeté le mouchoir était de beaucoup la moins belle. Journal 1889-1939, 1910. André Gide
La très étonnante faculté des grenouilles de gonfler comme un goitre leur gosier ... et de projeter sur le côté de la bouche ... une sorte d'énorme ampoule, d'apostème, d'appareil vibrant et glapissant. Journal, 22 mai 1943. André Gide
C'est aussi pour cela que je me suis réattelé à ce journal; sans grand plaisir, mais comme moyen d'entraînement au travail. Journal 1889-1939, 2 janvier 1907. André Gide
D'abord, il ne faut dédaigner personne. Il ne faut jamais rien dédaigner. Les petites gens, les petits profits, les petites choses... Robert ou l'Intérêt général écrit en 1949. André Gide
J'aime ceux qui ne savent pas trop pourquoi ils aiment, c'est qu'alors ils aiment vraiment. Une citation d'André Gide
