Le droit de t’aimer !
Dans la fenêtre discrète hésite la porte discrète.
L’arbre silencieux est entré dans la pièce silencieuse.
Tu es proche comme si tu ne demeurais pas ici.
Dans ma main tu prends la grande fleur :
elle n’est pas blanche, pas bleue, pas rouge – pourtant,
tu la prends.
Où jamais elle ne fut, elle restera toujours.
Nous ne fûmes jamais, nous resterons donc chez elle.
Marc DUPUY
Un poème d’amour
pierre
dans la joue effondrée de la nuit.O cette pente, mon aimée,
où nous roulons sans faire de pauses,
sous les pierres
de rigoles en rigoles.
Plus rondes à chaque fois.
Plus semblables. Plus étrangères.
Écris ton nom à côté du mien. C'est lisible. C'est simple : Nous ne sommes pas un couple d'amoureux. Bientôt nous partirons et chanterons, Légèrement appuyés l'un sur l'autre… Je ne dirais plus rien, après. Tu diras en cet instant,
Ce c'est plus parfois immergée avec toi dans l'heure cette pesanteur. C'en est une autre.
Mon coeur, mon amour, je te dédies ces quelques mots pour t'écrire a quel point notre amour est beau, pour te dire à quel point tu comptes pour moi, et que ma seule passion c'est toi.
L'amour me pousse à décrocher la lune Mais je suis humble et je saisis ma plume Tu mérites bien tout l'or et les diamants Moi je n'ai rien, qu'un très beau sentiment
Temps et confiance ont construit notre amour, Distances et disputes ont fortifiés notre couple, Ce qui est aujourd'hui certain, C'est que malgré les tempêtes que nous avons vécu, Rien non rien, pas même la séparation, Ne détruira ce que je ressens pour toi.
Tu es mon amour, ma passion, Mon incessante admiration, Tu me rends si heureux, Que je ne peux être qu'amoureux, Tu es tellement gentille avec moi, Que je fonds quand tu es là .
Tu es mon soleil Celui qui éclaire mes jours et mes nuits Tu es mon souffle Celui qui me redonne la vie
Désormais tu es mon mari, Le seul homme de ma vie, Je t'aime comme je n'ai jamais aimé Et l'amour qu'on se porte ne sera jamais brisé.