NOEL rondeau triolet
Noel et ses lutins laissent les bois
Car la magie opère ensorcelante
En cette nuit festive au nom des rois
Noel et ses lutins laissent les bois
ils portent des sapins gelant leurs doigts
la neige a perturbé la douce pente
Noel et ses lutins laissent les bois
Car la magie opère ensorcelante
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MON LIVRE doublette ou triplette
Mon recueil édité en vers fins
En suis-je fière de ses quatrains !
Un labeur ! Règne de CALLIOPE
Cette muse a délaissé les grecs
L’HELICON et ses joueurs d’échecs
Elle vint avec son télescope
Amour en dentelle
Le printemps se prélasse au bal des demoiselles
Un charme fort discret, quelque billet flatteur
sera bien suffisant pour envoûter les belles
Une dame au teint gris affole son miroir
Comment lui expliquer que ces petites rides
Accusent sa naissance,excluant tout espoir ?
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Les petits loups 1
Dans une forêt tapie près des étoiles regardez bien vous les verrez les petits loups,
ils sont trois leur pelage est bleu et leurs yeux verts étonnent la natureIls se nomment
CANDIDE
CUPIDE et
DORE
Ce sont des loups solitaires qui refusent de vivre avec une tribu
Ce sont des artistes, des excentriques. La tribu voit d’un mauvais œil
Ces trois loups solitaires vivre leurs passions d’artistes.
Poésie les petits loups
Nous sommes de petits loups intrépides
Nous humons la buée des matins
L’aube nous éveille tendre et souriante
Qu’il fait bon courir les heures creuses
Les petits loups 3
Maître REMUS avait un regard sévère
il portait une barbe grise
Et observa CANDIDE
il marchait en se dandinant vers l’avant
Évidemment répondit DORE il n’a pas l’habitude il vole
et il est certain que ses pattes sont courtes
oui dit
Les petits loups 4
Les trois petits retournèrent dans leur forêt triste et soucieux
Comment allaient-ils trouver la somme nécessaire pour payer cette amende
Si injuste toute la nuit ils tinrent conseil sans trouver de solution
L’aube les trouva en pleurs et leur demanda ce qui se passait
Ils racontèrent leur triste aventure. Les heures passèrent
Feu mes jeunes années ont brûlé leurs étés
Qu’il me souvienne d’une note fugace
Jouée par un piano impétueux et juvénile
La colonie abhorrée d’un sceau brisa la glace
D’une demeure sise rue des éperviers
Cette herbe folle s’essoufflait sur les espaliers
Un lierre sage, grave observait l’écervelée