Articles by paul


Dans la vie la vraie chance consiste à naître fils unique d'une famille riche. Alice Parizeau Une citation sur la naissance

Dans la vie la vraie chance consiste à naître fils unique d une famille riche.  Alice Parizeau CITATIONS ALICE PARIZEAU - citation naissance
Naît-on deux fois ? Oui. La première fois, le jour où l'on naît à la vie;La seconde fois, le jour où l'on naît à l'amour. Victor Hugo Une citation  sur la vie

Naît-on deux fois ? Oui. La première fois, le jour où l on naît à la vie;La seconde fois, le jour où l on naît à l amour. Victor Hugo CITATION VICTOR HUGO - Citation sur la vie
Elle ne reste pas un instant les bras croisés et quand nous n'avons pas d'ouvrage elle nettoie et frotte nos pauvres meubles qu'elle rend clairs comme des miroirs. La Mare au diable, George Sand Une citation sur l'instant

Elle ne reste pas un instant les bras croisés et quand nous n avons pas d ouvrage elle nettoie et frotte nos pauvres meubles qu elle rend clairs comme des miroirs. La Mare au diable, George Sand CITATIONS GEORGE SAND - Citation instant

XV

Personne ne dormit à la ferme dans la nuit qui suivit cette journée. Athénaïs se trouva mal en rentrant; sa mère en conçut une vive inquiétude, et ne consentit à se coucher que pressée par les instances de Louise. Celle-ci s’engagea à passer la nuit dans la chambre de sa jeune compagne, et Bénédict se retira dans la sienne, où partagé entre la joie et le remords, il ne put goûter un instant de repos.

Après la fatigue d’une attaque de nerfs, Athénaïs s’endormit profondément; mais bientôt les chagrins Lire la suite...

Le curé était encore chez les Muselier, attablé devant un verre de vin blanc et une assiette de biscuits à la cuiller. La Vouivre 1942. Une citation de Marcel Aymé

Le curé était encore chez les Muselier, attablé devant un verre de vin blanc et une assiette de biscuits à la cuiller. La Vouivre 1942. Une citation de Marcel Aymé CITATIONS MARCEL AYMÉ - Citations Marcel Aymé

Les Sabots

Le vieux curé bredouillait les derniers mots de son sermon au-dessus des bonnets blancs des paysannes et des cheveux rudes ou pommadés des paysans. Les grands paniers des fermières venues de loin pour la messe étaient posés à terre à côté d’elles; et la lourde chaleur d’un jour de juillet dégageait de tout le monde une odeur de bétail, un fumet de troupeau. Les voix des coqs entraient par la grande porte ouverte, et aussi les meuglements des vaches couchées dans un champ voisin. Parfois un souffle d’air chargé d’arômes des champs s’engouffrait sous le portail et, en soulevant sur son passage les longs rubans des coiffures, il allait faire vaciller sur l’autel les Lire la suite...

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