Le Médecin volant Scène III
Le Médecin volant par Molière
Gorgibus, Gros-René
Gorgibus
Allez vitement chercher un médecin; car ma fille est bien malade, et dépêchez-vous.
Gros-René
Que diable aussi ! pourquoi vouloir donner votre fille à un vieillard ? Croyez-vous que ce ne soit pas le désir qu’elle a d’avoir un jeune homme qui la travaille ? Voyez-vous la connexité qu’il y a, etc. (Galimatias).
Gorgibus
Va-t’en vite: je vois bien que cette maladie-là reculera bien les noces.
C’est dans la fougue des passions que le feu de l’âme est assez fort pour opérer
VII
Bénédict se jette à bas de son cheval.
—Mademoiselle, s’écrie-t-il, je tombe à vos genoux. N’ayez pas peur de moi. Vous voyez bien qu’à pied je ne puis vous poursuivre. Daignez m’écouter un moment. Je ne suis qu’un sot; je vous ai fait une mortelle injure en m’imaginant que vous ne vouliez pas me comprendre; et comme en voulant vous préparer je ne ferais qu’accumuler sottise sur sottise, je vais droit au but. N’avez-vous pas entendu parler dernièrement d’une personne qui vous est chère ?
—Ah ! parlez, s’écria Valentine avec un cri parti du cœur. Lire la suite...
Qu’est- ce qu’une blonde et les spaghettis ont en commun ? – Ils se tortillent tous les deux quand on