Horace ACTE V Scène III
Horace par Pierre Corneille
Sabine
Sire, écoutez Sabine, et voyez dans son âme
Les douleurs d’une sœur, et celles d’une femme,
Qui toute désolée, à vos sacrés genoux,
Pleure pour sa famille, et craint pour son époux.
Ce n’est pas que je veuille avec cet artifice
Dérober un coupable au bras de la justice:
Quoi qu’il ait fait pour vous, traitez-le comme tel,
Et punissez en moi ce noble criminel;
De mon sang malheureux expiez tout son crime;
La mort, c'est un peu comme une connerie. Le mort, lui, il ne sait pas qu'il est mort. Ce sont les autres qui sont tristes. Le con, c'est pareil. Le Succulent du chat Philippe Geluck (Dessinateur)
On nous a jeté un sort c’est bien sûr et nous ne sortirons d’ici qu’au grand jour. Il faut
Et te voilà contraint par l’amour d’un visage. Par le poète écrivain, homme de littérature Antoine de
Chapitre V
Je n’eus que le temps de replacer sur la table le malencontreux document.
Le professeur Lidenbrock paraissait profondément absorbé. Sa pensée dominante ne lui laissait pas un instant de répit; il avait évidemment scruté, analysé l’affaire, mis en œuvre toutes les ressources de son imagination pendant sa promenade, et il revenait appliquer quelque combinaison nouvelle.
En effet, il s’assit dans son fauteuil, et, la plume à la main, il commença à établir des formules qui ressemblaient à un calcul algébrique. Lire la suite...
Pour une femme morte, on pleure jusqu'à la porte. En italien: Doglio di donna morta, dura fino alla porta. Un proverbe italien