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Tout homme de lettres devrait prendre un pseudonyme pour déshériter sa famille de son nom. Un extrait de Journal, Edmond et Jules de Goncourt Une citation famille

Tout homme de lettres devrait prendre un pseudonyme pour déshériter sa famille de son nom. Un extrait de Journal, Edmond et Jules de Goncourt CITATIONS FRÈRES GONCOURT - Citations frères Goncourt - Citation famille

Britannicus ACTE V Scène III

Agrippine, Junie

Agrippine

Madame, ou je me trompe, ou durant vos adieux,

Quelques pleurs répandus ont obscurci vos yeux.

Puis-je savoir quel trouble a formé ce nuage ?

Doutez-vous d’une paix dont je fais mon ouvrage ?

Junie

Après tous les ennuis que ce jour m’a coûtés,

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Le Tour du monde en quatre-vingts jours Chapitre XXXI

dans lequel l’inspecteur fix prend très sérieusement les intérêts de phileas fogg.

Phileas Fogg se trouvait en retard de vingt heures. Passepartout, la cause involontaire de ce retard, était désespéré. Il avait décidément ruiné son maître !

En ce moment, l’inspecteur s’approcha de Mr. Fogg, et, le regardant bien en face:

” Très-sérieusement, monsieur, lui demanda-t-il, vous êtes pressé ?

— Très-sérieusement, répondit Phileas Fogg.

— J’insiste, reprit Fix. Vous avez bien intérêt à être à New-York le 11, avant neuf heures du soir, heure du départ du paquebot de Liverpool ?
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L’Avare ACTE ACTE V Scène première

Harpagon, un commissaire.

Le commissaire

Laissez-moi faire, je sais mon métier, Dieu merci. Ce n’est pas d’aujourd’hui que je me mêle de découvrir des vols, et je voudrais avoir autant de sacs de mille francs que j’ai fait pendre de personnes.

Harpagon

Tous les magistrats sont intéressés à prendre cette affaire en main; et, si l’on ne me fait retrouver mon argent, je demanderai justice de la justice.
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Le Tour du monde en quatre-vingts jours Chapitre XXXII

dans lequel phileas fogg engage une lutte directe contre la mauvaise chance

En partant, le China semblait avoir emporté avec lui le dernier espoir de Phileas Fogg.

En effet, aucun des autres paquebots qui font le service direct entre l’Amérique et l’Europe, ni les transatlantiques français, ni les navires du “ White-Star-line “, ni les steamers de la Compagnie Imman, ni ceux de la ligne Hambourgeoise, ni autres, ne pouvaient servir les projets du gentleman.

En effet, le Pereire, de la Compagnie transatlantique française — dont les admirables bâtiments égalent en vitesse et surpassent en confortable tous ceux des autres lignes, sans exception —, ne partait que le surlendemain, 14 décembre. Et d’ailleurs, de même que ceux de la Compagnie hambourgeoise, il n’allait pas directement à Liverpool ou à Londres, mais au Havre, et cette traversée supplémentaire du Havre à Southampton, en retardant Phileas Fogg, eût annulé ses derniers efforts.

Quant aux paquebots Imman, dont l’un, le City-of-Paris, mettait en mer le lendemain, il n’y fallait pas songer. Ces navires sont particulièrement affectés au transport des émigrants, leurs machines sont faibles, ils naviguent autant à la voile qu’à la vapeur, et leur vitesse est médiocre. Ils employaient à cette traversée de New-York à l’Angleterre plus de temps qu’il n’en restait à Mr. Fogg pour gagner son pari.
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