Le cas d’un arbuste musicophobe et celui d’un potiron vadrouilleur sont loin, paraît-il, d’être des cas isolés.
Impossible, malheureusement, de citer tous ceux que me communiquent mes aimables correspondants.
Je n’en veux retenir qu’un seul dont je fus témoin.
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Nos mains s’abattirent l’une dans l’autre, mutuel étau, et demeurèrent enserrées longtemps. Nous avions peine à contenir nos larmes.
Cap rompit le silence, et sa première phrase fut pour me plaindre de revenir en cette bureaucrateuse et méphitique Europe, surtout dans cette burlesque France où, selon la forte parole du Captain, il est interdit d’être soi-même.
Cap parlait, parlait autant pour cacher sa très réelle émotion que pour exprimer, en verbes définitifs, ses légitimes revendications.
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