M. Maurice Curnonsky, un jeune fantaisiste qui commence à se faire une place au soleil de la Littérature Souriante et qui publie de très vraiment réussies chroniques dans le Chat-Noir (un journal dont je fus le directeur, au temps où ma situation dans le monde m’autorisait encore à tremper dans la confection des petits canards; comme c’est loin, tout ça !), m’adresse une lettre dont l’intégrale publication me paraît imposée par la plus élémentaire humanité.
Seulement, voulez-vous faire une pari avec moi ?
Je gage que l’idée si simple, pourtant, et si pratique du jeune Curnonsky sera en pleine application chez les Anglais et les Américains, cependant que nous autres, fourneaux de Français, en serons encore à ricaner bêtement.
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