Tout ce qui touche à la langue française, d’ailleurs, ne me saurait demeurer indifférent. Mes lecteurs, mes bons petits lecteurs chéris, le savent bien, car pas un jour ne se passe sans que je sois consulté sur quelque philologique embarras, ou invité à consacrer de ma haute sanction telle nouvelle formule.
D’autres se montreraient orgueilleux d’une semblable renommée; moi, je n’en suis pas plus fier !
Une lettre très gentille, entre autres, reçue dernièrement, me disait en substance:
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Alors, moi malin, que fais-je ? Je publie le petit conte du jeune Foc et, pendant ce temps-là, je vais fumer une cigarette sur le balcon.
La parole est à vous, jeune homme:
UN REMÈDE ANODIN
I
Hercule Cassoulade, voyez-vous, c’était un mâle.
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