Les chroniques que j’ai consacrées à ce phénomène et à la xylose de la gueule-de-loup m’ont valu un monstrueux courrier.
C’est à qui me signalera, dans cet ordre d’idées, des observations plus ou moins bizarres.
Impossible, à moins de transformer ce volume en un massif in-folio, de parler de chacune de ces communications.
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Si donc pour me résumer on déclare un jour la guerre à une grande nation voisine, qu’il me paraît superflu de désigner plus clairement, certes oh ! que certes ! je ferai mon devoir de patrouillote, mais je demanderai à le faire au sein du douzième corps d’armée, commandée par mon vieux camarade le général Poilloüe de Saint-Mars, un vaillant guerrier, qui joint à sa loyale épée un joli bout de plume.
Un de mes lecteurs m’adresse un journal de Limoges où s’étale une merveilleuse instruction de ce général en chef sur le tir.
Rien ne saurait m’étonner du général de Saint-Mars. Est-ce pas lui qui l’année dernière commençait une circulaire par cette phrase prestigieuse et non dénuée d’imprévu:
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