Le Cid ACTE V Scène II
L’infante
T’écouterai-je encor, respect de ma naissance,
——Qui fais un crime de mes feux ?
T’écouterai-je, amour, dont la douce puissance
Contre ce fier tyran fait révolter mes vœux ?
——Pauvre princesse, auquel des deux
——Dois-tu prêter obéissance ?
Rodrigue, ta valeur te rend digne de moi;
Mais, pour être vaillant, tu n’es pas fils de roi.
Impitoyable sort, dont la rigueur sépare
Ognunu vede sò ch’è tù ai adossu E’ nisunu vede sò ch’ ètu ai