Je suis le mois où nul loisir – On ne peut prendre ou séjourner, Mais faucher, faner par plaisir,
Vieilles amours et vieux tisons – S’allument en toutes saisons.
Claire nuit à l’Epiphanie – Tonneaux biens remplis. Epiphanie
Je suis le mois où nul loisir – On ne peut prendre ou séjourner, Mais faucher, faner par plaisir,
Vieilles amours et vieux tisons – S’allument en toutes saisons.
Claire nuit à l’Epiphanie – Tonneaux biens remplis. Epiphanie