Les Fourberies de Scapin ACTE III Scène 6
Les Fourberies de Scapin par Molière
Géronte, Argante, Silvestre.
Géronte
Ah ! seigneur Argante, vous me voyez accablé de disgrâce.
Argante
Vous me voyez aussi dans un accablement horrible.
Géronte
Le pendard de Scapin, par une fourberie, m’a attrapé cinq cents écus.
Argante
Le même pendard de Scapin, par une fourberie aussi, m’a attrapé deux cents pistoles.
Géronte
Les hommes, à de certains moments, sont maîtres de leur sort ; et si notre condition est basse, la faute
Vingt mille lieues sous les mers partie 1 Chapitre XVII
Nous étions enfin arrivés à la lisière de cette forêt, sans doute l’une des plus belles de l’immense domaine du capitaine Nemo. Il la considérait comme étant sienne, et s’attribuait sur elle les mêmes droits qu’avaient les premiers hommes aux premiers jours du monde. D’ailleurs, qui lui eût disputé la possession de cette propriété sous-marine ? Quel autre pionnier plus hardi serait venu, la hache à la main, en défricher les sombres taillis ?
Cette forêt se composait de grandes plantes arborescentes, et, dès que nous eûmes pénétré sous ses vastes arceaux, mes regards furent tout d’abord frappés d’une singulière disposition de leurs ramures, — disposition que je n’avais pas encore observée jusqu’alors.
Aucune des herbes qui tapissaient le sol, aucune des branches qui hérissaient les arbrisseaux, ne rampait, ni ne se courbait, ni ne s’étendait dans un plan horizontal. Toutes montaient vers la surface de l’Océan. Pas de filaments, pas de rubans, si minces qu’ils fussent, qui ne se tinssent droit comme des tiges de fer. Les fucus et les lianes se développaient suivant une ligne rigide et perpendiculaire, commandée par la densité de l’élément qui les avait produits. Immobiles, d’ailleurs, lorsque je les écartais de la main, ces plantes reprenaient aussitôt leur position première. C’était ici le règne de la verticalité.
L'arme était accrochée au mur, à la tête du lit de Victor. Il y avait un chargeur complet dans un tiroir de la chambre aux outils. La Vouivre 1942. Une citation de Marcel Aymé
Quelles que soient les larmes qu'on pleure, on finit toujours par se moucher. Une citation de Marcel Achard
Il y a dans toute foule des hommes que l’on ne se distingue pas et qui sont de prodigieux messagers. Et sans