Articles by paul


NOTICE

Quand j’ai commencé, par la Mare au Diable, une série de tableaux champêtres, que je me proposais de réunir sous le titre de Veillées du Chanvreur,

je n’ai eu aucun système, aucune prétention révolutionnaire en littérature. Personne ne fait une révolution à soi tout seul,

et il en est, surtout dans les arts, que l’humanité accomplit sans trop savoir comment, parce que c’est tout le monde qui s’en charge.

Mais ceci n’est pas applicable au roman de mœurs rustiques: il a existé de tout temps et sous toutes les formes, tantôt pompeuses, Lire la suite...

Les Fourberies de Scapin ACTE II Scène 5

Les Fourberies de Scapin par Molière

Argante, Scapin.

Scapin, à part.

Le voilà qui rumine.

Argante, se croyant seul.

Avoir si peu de conduite et de considération ! S’aller jeter dans un engagement comme celui-là ! Ah ! ah ! jeunesse impertinente.

Scapin

Monsieur, votre serviteur.

Argante

Bonjour, Scapin.

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Les Fourberies de Scapin ACTE II Scène 6

Les Fourberies de Scapin par Molière

Silvestre, Argante, Scapin.

Silvestre

Scapin, faites-moi connaître un peu cet Argante, qui est père d’Octave.

Scapin

Pourquoi, Monsieur ?

Silvestre

Je viens d’apprendre qu’il veut me mettre en procès, et faire rompre par justice le mariage de ma sœur.

Scapin

Je ne sais pas s’il a cette pensée; mais il ne veut point consentir aux deux cents pistoles que vous voulez, et il dit que c’est trop.

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XXVIII

Dès ce moment, le péril devint imminent. Bénédict se sentit si heureux qu’il en devint fier, et se mit à mépriser le danger. Il prit sa destinée en dérision, et se dit qu’avec l’amour de Valentine il devait vaincre tous les obstacles. L’orgueil du triomphe le rendit audacieux; il imposa silence à tous les scrupules de Louise. D’ailleurs il était affranchi de l’espèce de dépendance à laquelle les soins et le dévouement de celle-ci l’avaient soumis. Depuis qu’il était guéri complètement, Louise habitait la ferme, et le soir ils se rendaient Lire la suite...

Cette manière basse de plaisanter a passé du peuple, à qui elle appartient, jusque dans une grande partie de la jeunesse de la cour, qu'elle a déjà infectée. Les Caractères 1696, Jean de La Bruyère Une citation sur la jeunesse

Cette manière basse de plaisanter a passé du peuple, à qui elle appartient, jusque dans une grande partie de la jeunesse de la cour, qu elle a déjà infectée. Les Caractères 1696, Jean de La Bruyère CITATIONS JEAN DE LA BRUYÈRE - Citations Jean de La Bruyère - Citation Jeunesse

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