À bon port arrimé, depuis quelques années, Mon navire bien aimé, voudrait bien voyager. Son âme est bien en peine, sa liberté est veine, Il aimerait sans chaînes, voguer vers un éden. Joyau des océans, lève l’ancre à présent, Va donc au gré du vent, oublier ce tourment. Quand va l’homme à l’amer, que vogue…