j'aime ton ombre, comme j'aime ton corps, ton corps qui se dessine sur le mur, je n'ai pas peur de ton ombre, je suis fidèle à ton ombre, ton ombre de la nuit,
nuit blanche, nuit câline, nuit de séductions nuit de débauche, nuit de passions, nuit de désirs, nuit de murmures gourmands, nuit de plaintes,
il est venu m'ouvrir la porte de ma prison, je subissais une peine de longue durée, il a scié les barreaux, je n'arrivais pas à sauter le mur, il passa devant la prison où je souffrais en silence,
a toi, l'amoureux, celui qui me fait tourner la tête, toi si prévenant, si amoureux, toi le complice de mes folies, a toi, l'homme de ma vie,
je ferme les yeux, je suis dans tes bras, contre ton corps, touchant ta peau douce, je me rassure, je touche , je palpe,
elle était là , sur cette plage, sur le rivage, elle attendait, puis il est venu, son doux mirage, elle en oublia de tourner la page, ils étaient heureux , sur cette plage, se tenant la main, comme deux enfants, ils avaient le coeur plein d'espoir,
j'irai roucouler devant ta fenêtre ce soir, je te chanterai ma sérénade, accompagnée de ma guitare, et de mon grattoir, cette sérénade d'amour, racontera notre rencontre,
sous l'insolence : de ton exigeance, par discrétion : je me laisserai guider par tes insolences, sous l'insolence : de ton absolu, par discrétion : je te suivrai bien entendu, sous l'insolence : d'une invitation,
je voudrais du soleil, du soleil dans ma vie, dans mon coeur, dans ma tête, et que çà soit tous les jours pareil, que le soleil me caresse le visage, qu'il se glisse dans mes yeux,
Je t’invite ce soir dans notre chambre, chéri, Goûte à son romantisme, avec sa tapisserie vieux rose, Son lustre suspendu accompagné de bougies,