Articles by alain


Ignorant de mon être, dorloté de couvertures d’insouciances, La pupille irisée d’un clair et dépourvue de toute méfiance, Ecoutant les musiques que le vent me souffle à l’oreille, Je me laisse délicatement caresser par une plume de soleil.

Vingt août deux mille six Et mes larmes se font encre sur la plume. Que ces mots écrits le vent t’apporte Ficelés à une boite de succulents bonheurs.

Je me prends à vouloir regarder doucement s’ouvrir Ce sauvage et fragile coquelicot, A vouloir effleurer du bout des doigts Les somptueux pétales de cette secrète orchidée.

Le Chat Seul à tourner en rond Dans le silence et dans la nuit Tu fais révérence à ta façon A Saturne qui de là-haut te sourit.

Les jours rallongent, les nuits raccourcissent, Tu t’en vas plus tôt, tu reviens plus tard, Et toujours je suis là, et toujours je suis las De t’attendre, de décompter les rayons de soleil.

C’est un monde où rien ne passe, que le temps,

Le soleil brille ou ne brille pas, la lune aussi,

Et les hommes attendent, attendent d’inexistants passants,

Attendent que plie le banc sur lequel ils ne sont assis.

C’est un monde où rien ne passe, que le temps,

Le soleil brille ou ne brille pas, la lune aussi,

Et les hommes attendent, attendent d’inexistants passants,

Attendent que plie le banc sur lequel ils ne sont assis.

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Once I was waiting, waiting about nothing,

Suddenly, a flowered dream invaded my brain,

So strong it was, it petrified all my things

And I wrote in this poem my new aim :

Once I was waiting, waiting about nothing,

Suddenly, a flowered dream invaded my brain,

So strong it was, it petrified all my things

And I wrote in this poem my new aim :

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Le profond de ses yeux,

Une étoile en chacun d’eux,

Une galaxie sur un fond de ciel bleu,

Une Voie Lactée en son regard mystérieux.

Le profond de ses yeux,

Une étoile en chacun d’eux,

Une galaxie sur un fond de ciel bleu,

Une Voie Lactée en son regard mystérieux.

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Le silence souffle et s’engouffre dans ma ruelle,

La nuit laisse glisser son voile le long des fenêtres ;

Monsieur, Madame, s’ensommeille dans un profond bien-être,

La cheminée abandonnée avec sa flamme sentinelle.

Le silence souffle et s’engouffre dans ma ruelle,

La nuit laisse glisser son voile le long des fenêtres ;

Monsieur, Madame, s’ensommeille dans un profond bien-être,

La cheminée abandonnée avec sa flamme sentinelle.

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