N'est-ce pas ? en dépit des sots et des méchants Qui ne manqueront pas d'envier notre joie, Nous serons fiers parfois et toujours indulgents.
L'hiver a cessé : la lumière est tiède Et danse, du sol au firmament clair. Il faut que le cœur le plus triste cède A l'immense joie éparse dans l'air.
Donc, ce sera par un clair jour d'été ; Le grand soleil, complice de ma joie, Fera, parmi le satin et la soie, Plus belle encor votre chère beauté ;
Avant que tu ne t'en ailles, Pâle étoile du matin, – Mille cailles Chantent, chantent dans le thym. –
Le soleil du matin doucement chauffe et dore Les seigles et les blés tout humides encore, Et l'azur a gardé sa fraîcheur de la nuit. L'on sort sans autre but que de sortir ; on suit, Le long de la rivière aux vagues herbes jaunes, Un chemin de gazon que bordent de vieux aunes. L'air…
Tu es la Créature suprême du seigneur
Que faire pour se mettre à ta hauteur
Etre un homme à tes cotés et t’épauler
Etre le mieux de son être pour t’aider
Etre le compagnon de toutes tes saisons
Donner le meilleur de soi, t’en faire don
Parmi les taches de cette vie
De toute aucune je ne renie
Et pourtant sentir ton âme
Toi si Fragile toi si femme
Pour ton cœur je me pâme
Quelques mots au delà des cieux
Pour signifier ce que je veux
Aimer aimer a en crier
Des sentiments effrénés
Dans un ciel déchiré.
Elles sont la qui m´entourent
Ta peau douce parfumée
Enfièvre mes pensées
Sentir et étreindre ton corps
Et ressentir la petite mort
Oh princesse comment t’expliquer
Le besoin pressent de tout te donner
Souple comme le roseau Belle malgré les travaux Adoré comme le champ de blé Travailleuse dans l’adversité