Le lac gelé frémit de laurore écarlate, Une branche gémit et métreignit de sang, Puis ma bouche retint le fil de miel épars Ruisselant sur ta langue enfiévrée de mendiant.
La nuit sétire encore et me ronge les sens. Je laime à en souffrir et les arbres gémissent, Je laime à en mourir et mes lignes blêmissent Sous la lune lépreuse je ne vois que le sang.
Mourir dans le silence où seule la nuit séplore Dans le creux de ton ventre à vide de paroles Séloigner pas à pas du gouffre de la vie En tourbillons de sang cuivrée dessus la langue
Dans le creux de ta paume une porte se ferme Une croix se cisèle ocrant ton corps en berne Le silence tenchaîne à la bouche affamée Du soleil vert de gris de désert verrouillé.
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"La vie de chaque personne est un chemin vers soi-même, l'essai d'un chemin, l'esquisse d'un sentier. Personne n'est jamais parvenu à être entièrement lui-même; chacun cependant, tend à le devenir. L'un dans l'obscurité, l'autre dans plus de lumière, chacun comme il le peut."Hermann HesseLes meilleures citations