Et le vieillard finit en disant : « Gloire à Dieu !
Dieu, seul commencement, seule fin, seul milieu,
Seule explication du ciel et de la terre,
Seule clef de l’esprit pour ouvrir tout mystère ! »
Il étendit la main pour l’invoquer sur nous !
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Dieu, seul commencement, seule fin, seul milieu,
Seule explication du ciel et de la terre,
Seule clef de l’esprit pour ouvrir tout mystère ! »
Il étendit la main pour l’invoquer sur nous !
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Cependant Asrafiel, vainqueur par sa complice.
De ses lâches rivaux débarrassant la lice,
Le pied sur un cadavre au trône était monté ;
Pour lui le prix du sang était la volupté :
Et, pour aiguillonner son audace assouvie,
Associant la mort aux excès de la vie,
De débauche altéré plus que d’ambition,
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De ses lâches rivaux débarrassant la lice,
Le pied sur un cadavre au trône était monté ;
Pour lui le prix du sang était la volupté :
Et, pour aiguillonner son audace assouvie,
Associant la mort aux excès de la vie,
De débauche altéré plus que d’ambition,
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La nuit, pleine de crime et de flambeaux rougie,
Roulait avec horreur ses astres sur l’orgie.
Les constellations, du haut du firmament,
Regardaient cette scène avec étonnement,
Admirant comment Dieu, dans son profond mystère.
Laissait monter si haut les forfaits de la terre
Et les anges chantaient d’un accent solennel :
« Patient ! patient ! car il est éternel ! »
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Roulait avec horreur ses astres sur l’orgie.
Les constellations, du haut du firmament,
Regardaient cette scène avec étonnement,
Admirant comment Dieu, dans son profond mystère.
Laissait monter si haut les forfaits de la terre
Et les anges chantaient d’un accent solennel :
« Patient ! patient ! car il est éternel ! »
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Mais sous ses yeux fermés son cœur ne dormait pas :
Elle eût rêvé Cédar sous la main du trépas.
L’amour qui l’embrasait pour le céleste esclave
Dans ses veines d’enfant roulait des flots de lave.
Sa tempe dans son front ne pouvait s’assoupir,
Sa respiration n’était qu’un long soupir.
Elle voyait toujours son chaud regard sur elle
Luire en rêve dans l’ombre ; ainsi qu’une étincelle.
Dans le profond silence elle entendait sa voix.
Les moments écoulés semblaient couler cent fois ;
De l’aurore à la nuit son attente insensée
Dévorait les instants, d’heure en heure élancée,
Et des siècles de nuits pleines de ses amours
Aux genoux du captif lui paraissaient trop courts.
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Elle eût rêvé Cédar sous la main du trépas.
L’amour qui l’embrasait pour le céleste esclave
Dans ses veines d’enfant roulait des flots de lave.
Sa tempe dans son front ne pouvait s’assoupir,
Sa respiration n’était qu’un long soupir.
Elle voyait toujours son chaud regard sur elle
Luire en rêve dans l’ombre ; ainsi qu’une étincelle.
Dans le profond silence elle entendait sa voix.
Les moments écoulés semblaient couler cent fois ;
De l’aurore à la nuit son attente insensée
Dévorait les instants, d’heure en heure élancée,
Et des siècles de nuits pleines de ses amours
Aux genoux du captif lui paraissaient trop courts.
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