Il devient indispensable que l'humanité formule un nouveau mode de pensée
Celui qui ressent sa propre vie et celle des autres comme dénuées de sens est fondamentalement
Ne t'inquiète pas si tu as des difficultés en maths, je peux t'assurer que
La plus belle chose que nous puissions éprouver, c'est le côté mystérieux de la vie. une citation dite par Albert Einstein Extrait de Comment je vois le monde
Nous n’achèverons pas l’union commencée.
Oh ! trois fois malheureux parce que je te plus,
Ne reviens plus jamais ici, ne reviens plus !
Fermez-lui le chemin de tous nos ports, étoiles !
O souffles qui passez et gonflerez ses voiles,
Souffles mystérieux du soir, s’il est en vous
Un Esprit, un Génie intelligent et doux,
Sur la nef précieuse allez parler à l’homme,
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KALLISTA.
Phrygia, soutiens-moi jusqu’à la maison sainte.
Je te cherchais, ma fille. Oh ! certes, Dieu n’a pas
Sans un profond dessein conduit ici tes pas.
DAPHNÉ.
vois, mère : je cueillais des plantes salutaires.
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J’ai cueilli le dictame illustre entre les plantes
Et les tiges en fleur des herbes consolantes.
J’en veux faire un breuvage, afin de secourir
Celle dont je suis née et que je vois mourir.
Christ, messager divin de la bonne parole,
S’il est vrai qu’à ta voix l’essaim des Dieux s’envole
Et qu’Apollon n’est plus le divin guérisseur,
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H est coiffé d’un chapeau thessalien ; sa tunique grise est ceinte aux reins, ses
chaussures hautes sont nouées à la cheville par des courroies de cuir. 11 tient un bâton
blanc à la main ; sa démarche est rapide.
Salut, verger, maison, chambre où, filant la laine,
Pour moi fleurit la vierge à la divine haleine !
Pêcheur ( car tes paniers de jonc luisent couverts
D’une écume marine et de goémons verts ),
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Et la fatigue est prompte et le pain est amer
A qui le va gagner dans les cités avares.
Les poissons à présent, plus maigres et plus rares,
N’appesantissent plus ma nasse et mon filet
D’où jadis une proie abondante roulait,’
Espoir d’un riche gain, dans ma barque joyeuse.
Les Dieux n’assistent plus ma vie industrieuse.
Et voici que, ce-jour, en vidant mes paniers,
Les femmes de Corinthe avec leurs cuisiniers
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Le chemin était bleu, le feuillage était noir,
Et les palmiers tremblaient d’amour au vent du soir.
L’enfant de Magdala, la fleur de Béthanie,
Gémissait dans la pourpre et l’azur des coussins.
Le grand épervier d’or des femmes étrangères
Agrafait sur son front les étoffes légères ;
La myrrhe tiédissait dans l’ombre de ses seins ;
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