Articles by eric


Comme un livre je me suis ouverte à toi. Comme un poème Tu as su rythmé mon cœur. Comme un roman Je me suis laissé emporter Comme un conte nous vivions une belle histoire. Comme un journal c’était notre quotidien. Comme un album Je repasses les images Comme une BD ton dessein était autre Comme…

eau
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III
(…)
Je suis partout en toi partout où bat ton sang

Limite de tous les voyages tu résonnes
Comme un voyage sans nuages tu frisonnes
Comme une pierre dénudée aux feux d’eau folle
Et ta soif d’être nue éteint toutes les nuits.

 

Derniers poèmes d’amour

Paul Éluard

Femme endormie
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Le grand merci que je dois à la vie
Non à la mienne mais à toute vie
Car tu es femme entière à la folie
Et rien n’a pu te réduire à toi-même
Dors mon enfance ma confiance d’or
Sur la litière où nous n’avons qu’un cœur
Fuyez misères à visage d’homme
Veiller sur toi c’est rêver d’être toi

C’est être sérieux
Sans avoir rien appris

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Femme sexy
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Pauvre je ne peux pas vivre dans l’ignorance
Il me faut voir entendre et abuser
T’entendre nue et te voir nue
Pour abuser de tes caresses

Par bonheur ou par malheur
Je connais ton secret par coeur
Toutes les portes de ton empire
Celle des yeux celle des mains
Des seins et de ta bouche où chaque langue fond
ET la porte du temps ouverte entre tes jambes

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Poésie Paul Eluard > La vie immédiate > La saison des amours
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Par le chemin des côtes
Dans l’ombre à trois pans d’un sommeil agité
Je viens à toi la double la multiple
À toi semblable à l’ère des deltas.Ta tête est petite que la mienne
La mer voisine règne avec le printemps
Sur les étés de tes formes fragiles
Et voici qu’on y brûle des fagots d’hermines.

Dans la transparence vagabonde
De ta face supérieure

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je t'aime
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2 mots composés de 7 lettres Piégés dans nos têtes Qui rêvent de sortir Qui rêvent de s’offrir Comme un bouquet de fleur Qui réjouie les cœurs Et leurs donnes des ailes Pour rendre plus belle Ces 7 lettres profondes Qui sublime le monde Le J de joie Le E de ensemble Le T de…

C’est bien toi que je vois aussi claire dans l’obscure Cette ombre gitane dansant avec le feu Qui avec ses voilages et son corps audacieux Attise les braises des adeptes d’Epicure ? J’en suis sur c’est bien toi qui aimante nos yeux, Qui attrape nos cœurs même les pierres les plus dures. Je la reconnais…

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