Je me suis toujours demandée Ce que l'amour pouvait représenter J'ai vu en toi, moi Et en toi moi, toi Es tu cette étincelle Qui m'est parvenue du ciel? Mon unique point de repère Si intense et éphémère Viens vers moi m'enlacer Jamais je ne pourrais te remplacer
André Isaac, plus connu sous le nom de Pierre Dac est un comédien et humoriste français. Il est né le 15 aout 1893 à Châlons-sur-Marne dans une modeste petite famille juive d’Alsace, originaire de Niederbronn-les-bains. Son père, Salomon Isaac est boucher, quant à sa mère, Berthe Kahn, elle est femme au foyer. Déjà dans son enfance, André Isaac aimait les farces et les petites blagues que ce soit chez lui ou à l’école. Ses dons artistiques se sont très vite révélés également car si son grand frère Marcel a été destiné par ses parents à reprendre la boucherie familiale, ils ont préféré lui donner des cours de violon.
Là, les vents courant sur l’azur immaculé Semblaient perdre l’enfant dans la voûte étoilée, Et venant, caressant mille fois son esprit, D’une fine tristesse, l’amant était détruit. Puis, mourant, s’en retournant à son désespoir, Dans un profond ennui, vit arriver le soir Lorsque bientôt, les ténèbres cernant la terre, D’un geste las, parti, le regard…
Maître corbeau, sur un arbre perché,
Tenait en son bec un fromage.
Maître renard par l’odeur alléché ,
Lui tint à peu près ce langage :
Et bonjour Monsieur du Corbeau.
Que vous êtes joli! que vous me semblez beau!
Sans mentir, si votre ramage
Se rapporte à votre plumage,
Vous êtes le phénix des hôtes de ces bois»
Aux vents des monts abrupts et des pics solitaires, Tendre princesse, s’ afflige en son château de verre, ” Ô déesses, oseriez-vous rester sans émoi Devant tant de peine, effet d’un destin sournois, Qui, dans ce palais, grande prison de cristal, Me tient prisonnière me poussant jusqu’au râle, Cernant mes charmes de ces murailles d’Onyx,…
Devant les vents ardents et les marées glacées, Jeune homme, le cœur lourd, admire au loin dans la baie, Lorsqu’un vieillard, doucement s’avançant vers lui, S’adressa au garçon en lui parlant ainsi : ” Mon cher petit, écoutez mes sages paroles, Voyez, aussi loin que vos tendre larmes volent, Tout ce que ce monde peut…
A l’ombre de la réclusion, Mes nuits se traînent silencieuse. Approche l’heure du réveil, Et avec elle, celle de la raison. Vision à peine ébauchée, Brumeuse, et sans pareil.
Ô princesse, majestueux phénix de cristal, Tu renais en mon cœur, éradique le mal, Et de ton large battement d’ailes gelées, Loin de moi, les viles tentations sont chassées. Lorsque sur mon âme se pose ton regard, Mes sens s’expriment, forts de cet heureux hasard, Qui, de tes yeux d’un bleu couleur de l’océan, Mérite…
Je n’veux pas d’un roi, mais seulement de toi. Plus que tes richesses, d’un peu de tendresse. Qu’importe ta thune, je n’veux pas la lune. C’est toi qui m’accroche, pas c’que tu décroches. Tu es ma promesse, toi seul, m’intéresse. Je t’ai espéré, quand tu m’as trouvé, de quoi ai-je besoin? sinon de tes soins,…
“Vous avez bien sujet d’accuser la nature ;
Un roitelet pour vous est un pesant fardeau ;
Le moindre vent qui d’aventure fait rider la face de l’eau,
Vous oblige à baisser la tête.
Cependant que mon front, au Caucase pareil,
Non content d’arrêter les rayons du soleil,
Brave l’effort de la tempête.
Tout vous est aquilon ; tout me semble zéphyr.
Encore si vous naissiez à l’abri du feuillage
Dont je couvre le voisinage,
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