Connais-tu la blague de toto en Amérique ?
Non ?
Moi non plus il n’y avait plus de place dans l’avion !
Une blague de Toto
Non ?
Moi non plus il n’y avait plus de place dans l’avion !
Une blague de Toto
Un homme se plaint chez son médecin :
-Docteur, je ne sais pas ce qui m’arrive, j’ai plein de maladies animales. Le matin, quand je me lève, mon dos me fait un mal de chien. À midi, j’ai tellement faim que je bouffe comme une vache, et le soir, je suis tellement crevé que je dors comme un loir. Le médecin lui dit de se déshabiller et sur ce, il lui dit :
– Je peux tout de suite vous dire que vous avez encore deux maladies animales de plus !
– Comment ça, s’inquiète l’autre.
– Vous puez comme un bouc et vous êtes sale comme un cochon!
Une blague sur les animaux
-Docteur, je ne sais pas ce qui m’arrive, j’ai plein de maladies animales. Le matin, quand je me lève, mon dos me fait un mal de chien. À midi, j’ai tellement faim que je bouffe comme une vache, et le soir, je suis tellement crevé que je dors comme un loir. Le médecin lui dit de se déshabiller et sur ce, il lui dit :
– Je peux tout de suite vous dire que vous avez encore deux maladies animales de plus !
– Comment ça, s’inquiète l’autre.
– Vous puez comme un bouc et vous êtes sale comme un cochon!
Une blague sur les animaux
Un fou vient de trouver par terre une boite d’allumettes. Mais au bout de quatre essais, il n’arrive toujours pas à en allumer une seule. Heureusement la cinquième tentative est la bonne. Le fou tout content souffle dessus pour l’éteindre et dit:
– “Ah super, celle-ci fonctionne, je vais la mettre de côté! ”
Une blague sur les fous
– “Ah super, celle-ci fonctionne, je vais la mettre de côté! ”
Une blague sur les fous
J’ay veu, Amour (et tes beaulx traictz dorez
M’en soient tesmoings) suyvant ma souvereine,
Naistre les fleurs de l’infertile arene
Après ses pas dignes d’estre adorez.Phebus honteux ses cheveulx honorez
Cacher alors que les vents par la plaine
Eparpilloient de leur souëfve halaine
Ceulx là, qui sont de fin or colorez.
M’en soient tesmoings) suyvant ma souvereine,
Naistre les fleurs de l’infertile arene
Après ses pas dignes d’estre adorez.Phebus honteux ses cheveulx honorez
Cacher alors que les vents par la plaine
Eparpilloient de leur souëfve halaine
Ceulx là, qui sont de fin or colorez.
Puis s’en voler de chascun oeil d’icelle
Jusques au ciel une vive etincelle,