Articles by eric


Une belle
-mère vient rendre visite à sa fille et à son gendre. Le beau
-fils vient lui ouvrir la porte et s’exclame:
– Bonjour belle maman! Ça fait longtemps qu’on ne vous avait vue! Alors combien de temps allez
-vous rester parmi nous?La belle
-mère, voulant plaisanter :
– Oh, eh bien jusqu’à ce que vous soyez fatigué de me voir.Le gendre:
– Vraiment ? Vous ne préférez pas rentrer et prendre un petit café tout d’abord?
Une blague sur les belles mères
Si tu vas en guerre, prie une fois ; si tu vas en mer, prie deux fois ; si tu vas en mariage, prie trois fois. Un Proverbe polonais

Si tu vas en guerre, prie une fois ; si tu vas en mer, prie deux fois ; si tu vas en mariage, prie trois fois. PROVERBES POLONAIS
Je ne quiers pas la fameuse couronne,
Sainct ornement du Dieu au chef doré,
Ou que du Dieu aux Indes adoré
Le gay chapeau la teste m’environne.

Encores moins veulx-je que l’on me donne
Le mol rameau en Cypre decoré:
Celuy qui est d’Athenes honoré,
Seul je le veulx, et le Ciel me l’ordonne.

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Sola virûm nuper volitabat docta per ora
Laura, tibi Thuscis dicta, Petrarcha, sonis:
Tantaque vulgaris fuerat facundia linguas,
Ut premeret fastu scripta vetusta suo.

At nunc Thuscanam Lauram comitatur Oliva
Gallica, Bellaii cura laborque sui.
Phoebus amat Laurum, glaucam sua Pallas Olivam:
Ille suum vatem, nec minus ista suum.

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Combien que j’aye passé l’age de mon enfance et la meilleure part de
mon adolescence assez inutilement, lecteur, si est-ce que par je ne
sçay quelle naturelle inclination j’ay tousjours aimé les bonnes
lettres: singulierement nostre poësie françoise, pour m’estre plus
familiere, qui vivoy’ entre ignorans des langues estrangeres. Depuis,
la raison m’a confirmé en cete opinion: considerant que si je vouloy’
gaingner quelque nom entre les Grecz, et Latins, il y fauldroit
employer le reste de ma vie, et (peult estre) en vain, etant jà coulé
de mon aage le temps le plus apte à l’etude: et me trouvant chargé
d’affaires domestiques, dont le soing est assez suffisant pour dégouter
un homme beaucoup plus studieux que moy.

 

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À très illustre princesse Madame Marguerite, sœur unique du roy présentant ce livre

SONNET

Par un sentier inconneu à mes yeux
Vostre grandeur sur ses ailes me porte
Où de Phebus la main sçavante et forte
Guide le frein du chariot des cieulx.

Là elevé au cercle radieux
Par un Demon heureux, qui me conforte,
Celle fureur tant doulce j’en rapporte,
Dont vostre nom j’egalle aux plus haulx dieux.

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