Evaluer cet article Après le malheur de naître, je n'en connais pas de plus grand que celui de donner le jour à un homme. A Lire AussiQue venir, voir, et vaincre,L’intelligence, on croitIl y a peu de choix parmiL’intelligence sans bontéLe Roi: Les rois devraientCar l’amour d’une femme est Avec ta mère jusqu’au rivage; avec ton époux, à Qui sait si vivre est ce qu’on appelleSi l’hiver est chargé d’eau, l’été n’en sera que plusLes moeurs font toujours de meilleurs citoyens que les PARTAGER