Evaluer cet article Après le malheur de naître, je n'en connais pas de plus grand que celui de donner le jour à un homme. A Lire AussiLe PaysanLe Dernier templeViens, doux PrintempsLa fibre la plus coriaceLe monde est généralementTout ceci finira par un arrêtJe t’aimeNoël sans lune, de cent brebis ilLe petit asticot demande à sa maman : – Maman, où estC’est Noël : il est grand temps de rallumer les étoiles. PARTAGER