Evaluer cet article Allons où je n’aurai que vous pour souveraine, Où vos bras amoureux seront ma seule chaîne. Extrait de Tite et Bérénice. Pierre Corneille A Lire AussiD’une fontaineBeau soir d’hiverQui oblige fait desIl existe souvent uneC’est une blonde qui revient de l’école et sa mèreCelui qui aime la gloire metVieillir n’est pas grandir.Oisiveté mère de tous les vices et filleLa famille devrai être la première école de religion, la première école deOn ne trouve jamais complètement désagréable ou inintéressant quelqu’un à qui PARTAGER