Evaluer cet article Ah ! quel âpre tourment ! quels douloureux abois ! Médée. Pierre Corneille A Lire AussiJ’ai un nouveau chien, il est formidableLors de la mort, aucunOn aime toujours qui nous amuseLa faute est comme un galet glissant : celui qui ne fait pas attentionLe problème de certaines femmesUn homme d’affaires est assis à un bar de Amour, c’est peut-êtreIl y a des gens chez lesquelsSoyez polis envers tousCheval mal nourri, ne va PARTAGER