Evaluer cet article Ah ! j’en ai des jolies étrennes ! Une montre une chaîne ! Hé ! là madame que je vous aime. Jamais je n’ai été étrenné comme aujourd’hui. Journal 1er janvier 1909. Jules Renard A Lire AussiLe Bourgeois gentilhomme ACTE III Scène IIILe marin…!Le Misanthrope ACTE V Scène 3Pluie aux rois – BléTu trompes l’ami que tu asL’artifice du langage représente à mes yeux un symptôme majeur du mal dontPardonnez beaucoup de chosesLe malade imaginaire ACTE III Scène 13La seule solution définitive estQuand le merle chante en mai, avril est PARTAGER