Evaluer cet article Abruti, vieilli, sentant ma pensée à son étiage. Journal 1939-1949 Souvenirs, 6 mai 1943. André Gide A Lire AussiIl n’y a nulle correspondanceA la toussaint, cueille l’olive à la main.Gens trop heureux font toujoursUn homme va subir une opération très délicate et c’est sonContre Denise SorcièreIl est aussi naturel à celui quiRéveilLa peinePhèdre ACTE premier Scène 4On perd la plus grande partie PARTAGER