Evaluer cet article Je dis “vous” à mon impressario. Avec l’argent qu’il me prend, j’ai toujours cru qu’ils étaient deux. Thierry Le Luron A Lire AussiNe jamais rien écrireA moi les plaisirs et les joiesDieu nie le mondeParfois, je me sens plus vieille que ma mère…Une mauvaise action trouveCe ne sont pas les biensComment sont nées lesVent d’octobre tisse les pelisses.Quand les riches font l’amour, ils ont énormément Il y a un espoir souverain dans les yeux PARTAGER