Evaluer cet article On s’aperçoit qu’on s’aime, le jour où l’on apprend qu’on ne pourra jamais plus s’aimer. Extrait de Signé Furax : le boudin sacré Francis Blanche et Pierre Dac A Lire AussiUne carrière, c’est fantastique, maisA cela près de la clarté, nous jouons dansCelui qui se chauffe auComment n’aime-t-on pas mieux lire les bons ouvrages des Quand la France rencontre uneOubliSi tu as fini de te désaltérer, ne trouble pas la source pour les Comment peut-on empêcher une grosse dame de chanter quand on aLe cafard est toujoursBrouillard de mai, chaleur de juin, amènent la moisson à PARTAGER