les vitrines

Dans  poésie raymonde verney
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Le soir s’attarde et congratule les vitrines diamantées

Epingles  de lumière fichées dans des rayons somnolents

Mon regard caresse ces objets pétrifiés  à l’envi

Fluidité d’un regret qui s’évapore et s’enfuit

     


 

J’aime les flâneries  ristourne d’un jour  trop long

Fouler les sols rutilants des ombres organisées

Projection inopinée  des lumières avinées

Haillons de semi –lune oripeaux éclatants

 

Que cet avant NOEL  m’aborde de ses extravagances !

Scintillements  irréversibles des prix apprêtés

Cadeau d’une seconde réflexion atrophiés

L’argent coule son métal relent de suborneur

 

Soirée atypique où se confondent les senteurs

Parfums qui décapsulent les bourses vides

Folie itinérante qui conduira la sente de l’infortune

Vitrines jolies éclaboussées d’orgueil  tentez le réveillon

 

Raymonde verney



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