Cultivons nousHenry Jean-Marie Levet
Henry Jean-Marie Étienne Levet, est un poète et chroniqueur français du 19ème siècle.
Il est né le 13 janvier 1874 à Montbrison dans la région de Loire et est décédé le 15 décembre 1906 à Menton aux Alpes-Maritimes.
Henry Jean-Marie Levet
Vie d’Henry Jean-Marie Levet
Jean-Marie Levet a commencé sa carrière avec la revue Courrier français et La Plume où il a publié des poèmes et articles critique et de chronique.
En 1897, il réussit à partir, grâce à son père dans une mission diplomatique en Inde. Étant un grand passionné des voyages et des découvertes, Levet a trouvé dans la charge de diplomate, la carrière qui lui va le mieux à côté de la poésie.
Levet a fait plusieurs voyages dans le monde entier notamment aux Philippines où il était chargé de la mission de secrétaire-archiviste en 1902, et en Argentine en 1906.
Henry Jean-Maris Levet fut atteint, alors âgé de 33 ans seulement de phtisie. A l’époque il revenait de l’Argentine et venait de s’installer à Menton. Il s’éteint le 15 décembre 1906.
Henry Jean-Marie Levet
Levet a laissé 11 magnifiques poèmes, intitulés les Cartes postales qui ont été publiés dans une revue française. Ils ont été réédités à son posthume.
Œuvres d’Henry Jean-Marie Levet
• Le Drame de l’allée, paru en 1897
• Le Pavillon
• Poèmes, qui été publié à titre posthume en 1921
On raconte que Dieu
Le cuisant souvenir d’une
Le suprême bonheur de la
Changer d’avis c’est changer
L’espèces de gens qui n’étaient
La guerre, c’est la guerre des- Rosée de mai, fait tout beau ou tout
La lune, une vieille dame qui n’a pas- A la saint-Rémy, perdreau vaut perdrix.
L’amitié vit de silence, l’amour en meurt.