Evaluer cet article C'est au malheur à juger du malheur. A Lire AussiLe Compagnon de routeA la jonction des ruisseauxLa plus grande gloire obscurcit laNocturneA la saint-Lin, fait rouir le lin.Tout comme Hugo, Balzac a trop deQuand elle est là, tout disparaît à mes yeux, et je Les Medeçins TémérairesSe marier, c’est consommer le même épiderme jusqu’à laBeaucoup de paille et peu de blé, PARTAGER