Une heure, quand le rêve ne serait imaginaire,
Et que l'infini soit si proche de nous,
Je pourrai enfin te voir.
Une minute,quand le passé reviendra vers notre ère,
Et que les personne repréféreraient les houx,
Je pourrai te serrer les bras et je pourrai y recroire.
Une seconde, et une seule suffit pour voir la mer,
S'étaler devant vous,
Je pourrai courir vers toi pour ne plus te dire aurevoir.
Mais je sais que cette séparation,
Ne fait place qu'à l' imagination.
Car je te vois chaque seconde,minute,et heure;
Dans ce qui est le plus précieux,mon coeur.
Je t'aime.
Zahreddine Rabab