Evaluer cet article Ce perpétuel mourir qu'on appelle, faute de mieux, le présent. A Lire AussiQuelques gouttes de roséeTapie dans l’herbe hauteQui ne sait recevoir en paix lesDès qu’une femme rêve d’unLe bonheur n’est peut-êtreIl faut sauver les peuples malgré eux.Nous sommes à Vizzavona, en plein centre de L’intérêt est plus aveuglejamais je n’aurai l’audace de jeterLe train PARTAGER