Evaluer cet article Je ne déteste pas les gaffes. Elles prouvent la droiture de l’esprit. Elles sont les gages comiques de notre bonne foi. Journal 17 novembre 1900. Jules Renard A Lire AussiIl y a plus de faits et de détails historiquesJe lisais chaque matin deuxLes grandes pensées viennent du coeur, et les grandes affections viennentMourir. Cette innombrable transformation de soi.L’auroreIl me semble parfois qu’écrire empêcheQuand nous sommes heureux, nous J’ai cru que c’etait un figuier pleins de figues, Il y a de bonnes raisons de partager sa vieUn comportement bon et honnête PARTAGER