Evaluer cet article J’aime tant mon village que je n’aime pas voir les autres s’y installer. Journal. Jules Renard A Lire AussiIl n’est pas d’acropole que le flot deSe souvenir, c’est s’écorcher.La vache la premièreFais du bien et jette-le àAvec le tempsSeptembre en sa tournure,Comme si réellement on pouvaitLes grandes choses sont faitesSi la pauvreté est la mère desA la saint-Jean bouillant, les nuées vont contre le PARTAGER