Evaluer cet article Mon coeur, si doux à prendre entre tes mains, Ouvre-le, ce n'est rien Qu'un peu de cendre. A Lire AussiLe soleil brille aujourd’hui pour toiL’enfant centralise les espoirsLa poésie est la tendresse espiègle des jeux deQuelle est la différence entre un inspecteur desUn psychotiqueLa fortune se joue de nous; leQuand Paris se sent morveux, c’est la France tout entière quiQuant au basilic (= le confort), ma maison La liberté est dans le geste : écrire. Emprisonnés même, on peut encore Pèr uno fiho mal-countènto, PARTAGER