Evaluer cet article La main qui me tue Rend sous mes déplaisirs ma constance abattue. Cinna, ou La clémence d’Auguste. Pierre Corneille A Lire AussiDe George Sand à Alfred de Musset.Des cris étouffésQu’est-ce qu’ils ont àUn bienfait perd sa grâce àSous sa carapace de lâcheté,Dis lui que je ne l’aimeLes Fourberies de Scapin ACTE III Scène 6Le courage est le prix que laIl n’y a pas d’absenceSonge éperdu PARTAGER