Evaluer cet article Je perdrai qui me perd, ne pouvant me sauver. La mort de Pompée. Pierre Corneille A Lire AussiSi les poules pondaient des haches, elles se fendraient lebal des pendusTout nouveau tout beau. MaisLes miracles ne sont pas en contradiction avec les loisUne de mes tantes, célibataire endurcie, expliquait un jour pourquoi elle ne s’était jamaisMes trois voeux se sontQuand le merle chanteLes nations n’ont de grandsAu mois de février, chaque herbe fait son Comme disait Jeanne d’Arc en PARTAGER