Evaluer cet article Si j’ai feint pour toi quelques feux, C’est à quoi plus rien ne m’oblige: Quand on a l’effet de ses voeux, Ce qu’on adorait se néglige. La Suivante. Pierre Corneille A Lire AussiMarie, levez-vous, ma jeune paresseuseCelui qui s’ennuieIls se contentent de tuer le tempsLa vérité doit constituerLes formes et les choses seSi vous voulez que la vieUn homme entre dans un magasins d’oiseaux.A la saint-Gontran, si la température est belle, arriventSi j’étais né avant mon père, j’aurais pu être le Je t’aime, c’est-à-dire que j’aime en toi la différence qui nous PARTAGER