Evaluer cet article L’amour que j’éprouvais se confondait avec celui que j’inspirais. Le Noeud de vipères 1932 Une citation de François Mauriac A Lire AussiL’orGueuxPour moi ! Mon ennemi !Si écrire, agir, c’est uneQui réforme souvent déforme.L’affection d’un absentJe travaille la nuitLa langue qui fourche fait plus de mal que leCiel rouge du soir, espoir. Ciel rouge le A la saint-Grégoire, il faut tailler sa vigne PARTAGER