Evaluer cet article J’aime la Bretagne, j’y trouve le sauvage, le primitif. Quand mes sabots résonnent sur ce sol de granit, j’entends le son sourd, mat et puissant que je cherche en peinture. Lettre, à Emile Schuffenecker, 1888. Paul Gauguin A Lire AussiSi les maris permettaient un ou deux amantsLes vaniteux n’entendentLa foi et le commerceLe vieil homme qui met le feu à sa barbe, Le Matin. OdeUn octobre n’est jamais passé sans qu’il y ait cidreQuand le soleil brille le jour de l’an, c’est signe de beaucoupLa Vieille MaisonGilbert Bécaud, histoire et biographie de BécaudLa rosée de Saint-Albin est, dit-on, rosée de PARTAGER