Evaluer cet article L’homme ne trouve point sa fin en lui-même mais se subordonne et sacrifie à je ne sais quoi, qui le domine et vit de lui. Préface à Vol de nuit d’Antoine de Saint-Exupéry. André Gide A Lire AussiElle ne croyait à rien;Je me rendsA Noël grand vent, aux arbres, fruits abondants. L’Oisel empluméLa peine de ma vie est d’enen parcourant le monde, on rencontre des hommes qui semblent ne pasJe ne dors pas longtempsLe romancier, d’ordinaire, ne faitLes amis de mes amis sontC’est la LUCIDITE, la fautive, elle met les poètes en lambeaux, elle qui vous PARTAGER